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La deep tech désigne les jeunes pousses, start-ups ou entreprises disruptives basées sur des techniques considérées comme fortement novatrices. Les plus plébiscitées en 2021 sont notamment l’intelligence artificielle, la blockchain, la réalité virtuelle et augmentée, ou encore la tokenisation. Parce qu’elle s’apprête à changer en profondeur les règles du jeu économique, la deep tech est une vague qu’aucune entreprise n’entend manquer. D’après la nouvelle étude « Big Business digs into Deep Tech » menée par Natixis Corporate & Investment Banking et le Boston Consulting Group, 78 % des entreprises ont maintenu, voire renforcé leurs investissements dans le digital au cours de la pandémie de la Covid-19. Pour soutenir cette transition numérique, les acteurs financiers ont donc un rôle clé à jouer dans l’accompagnement de leurs clients.

Des dirigeants d’entreprises et leaders de différents secteurs se sont exprimés lors des panels sur l’emploi de ces technologies de pointe dans leurs domaines respectifs, qu’il s’agisse de l’énergie, la mobilité, l’immobilier, les biens de grande consommation, la santé ou l’assurance.   

La vision du futur de la French Tech a également été partagée par des représentants prestigieux de la Silicon Valley, Luc Julia, actuel chef scientifique du Groupe Renault et concepteur de Siri et Jean-Louis Gassée, ancien vice-président d’Apple, et le Secrétaire d’État en charge du Numérique Cédric O.