Véritable fléau 2.0 depuis les débuts d'Internet, le cyberharcèlement s'est fortement aggravé avec l'avènement des réseaux sociaux avant de s’accélérer pendant la crise sanitaire. En 2019, plus de 40 % des moins de 50 ans avaient déjà subi des attaques répétées sur les plateformes sociales en ligne, dont 22 % des jeunes âgés de 18 à 24 ans*.
Les jeunes victimes ont parfois du mal à en parler et leurs parents se sentent souvent démunis : 79 %** des parents estiment qu’il serait utile que leur enfant puisse bénéficier d’un accompagnement psychologique en cas de cyberharcèlement.
Face à ce grave phénomène de société, le Groupe BPCE s’engage au travers d’une campagne de prévention et d’assistance aux victimes. Tous les contrats d’assurance scolaire et santé de Natixis Assurances, distribués par les Caisse d’Epargne, intègrent une assistance psychologique : la prise en charge comprend jusqu’à cinq entretiens téléphoniques par bénéficiaire (et jusqu’à trois entretiens en face à face pour les mineurs) délivrés par un réseau de plus de 1 500 psychologues cliniciens partout sur le territoire.
De plus, la Caisse d’Epargne est mécène de l’Association e-Enfance, une association qui guide les enfants et leurs parents pour un bon usage d’internet, les sensibilise sur les risques de cyberviolence et les aide en cas d’attaque. La Caisse d’Epargne s’engage à soutenir financièrement les missions de l’association, à lui donner une visibilité supplémentaire pour mieux la faire connaître et à promouvoir le 3018, numéro national de soutien aux jeunes victimes de cyberharcèlement.
* Étude Statista, avril 2020
** Étude Audirep 2021
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